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Poésie libre / Le prince de grenade { part 2 }
              
Poésie libre / Le prince de grenade { part 2 }
         
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Le prince de grenade { part 2 }
par Ismael


LE PRINCE DE GRENADE L'an 1094 Damas Parti 2 : Gaëlle et le prisonnier. Au fond d'un cachot miteux et nauséabond. Gaëlle se demandait comment elle avait pu se retrouver dans ce trou puant privé de toute liberté. Tout cela avait commencé par un malentendu elle avait voulu aider un orphelin, mais ce n'était qu'un piège bien ficelé ou tombait tous les nouveaux arrivés. Elle fut très vite jugée, la justice ne fut pas prononcée. Innocente, elle fut jetée dans une cellule pour une période indéterminée seuls les rats l'entendait se lamenter et pleurer elle était triste et apitoyer. Elle regrettait d'avoir quitté son père. Elle aurait tellement aimé qu'il soit là pour le serrer dans ses bras toute une éternité. La lourde porte s'ouvrit avec un bruit sourd, devant ces pieds apeurer. Un homme fut jeté. Il avait l'aire dérangée avec un brin de folie dans les yeux et surtout, il sentait très fort des pieds. Rraaah... Dit-il, soyez damné, gens de petitesse, pervers, et de surcroit mal éduquer. Il avait la bouche plein de dents cassées de longs cheveux qui avait l'air de n'avoir jamais été coupé avec une barbe ébouriffer et des vêtements déchirer. On m'appelle Salim, dit-il. En se dépoussièrent comme s'il était élégant et que ses vêtements venaient d'être acheté. Je suis un ermite, je vis une vie austère sans richesse avec beaucoup de pauvreté. Le ciel est mon toit et le monde est ma patrie. Toi qui es-tu et comment on t'a nommé. Je m'appelle Assam dit Gaëlle, je suis fils de chamelier, elle avait oublié qu'elle était déguisée en entendent sa voix Salim avait les sourcils lever. Elle toussa et tenta de se rattraper avec une voix plus étranglée, je m'en allais vers Grenade, mais on m'a injustement arrêté. Devant Salim, Gaëlle était terrifiée s'il apprenait la vérité, il allait à coup sûr là dénoncer et elle serait condamner. Elle en fessait trop chacun de ces gestes était sur jouer et plus les jours passait plus elle avait du mal à cacher sa féminité. Salim semblait à chaque jour plus interloquer. Une nuit, il fit semblant de se reposer, et il la surprit alors qu'elle voulait se soulager. Aaah, cria-t-il comme un demeuré, je le savais, tu es un garçon manqué, Gaëlle ce senti perdu elle se voyait déjà morte décapiter. Je vais tout t'expliquer, essayai elle pour le calmer par pitié écoute et promets-moi de ne rien rapporter. Elle raconta tout du premier jour jusqu'au dernier des nuits du ramadan au rêve princier avec des yeux rougis de sincérité. Un silence s'ensuivit elle était perchèe à la lèvre de Salim et attendait qu'il réponde avec bonté, c'était sur cela qu'elle avait tout misé. C'est la providence qui nous a réunies ici, je savais que je trouverais une noble quête dans cette maudite cité. Tu ne comptes pas me dénoncer pour te faire libérer demanda Gaëlle stresser. Non seulement, je ne vais pas te dénoncer, mais moi Salim celui que dans tout l'orient, on appelle le savant errant, je vais t'aider. Car sans mon aide, jamais tu n'atteindras la Méditerranée, tu te ferais tuer en moins d'une journée. Le savant errant de ce sobriquet Gaëlle n'était pas sur de la véracité, mais elle le laissa continuer. C'est ainsi qu'est notre monde dit-il chacun de nous à une tâche à accomplir, c'est pour cela que nous sommes nées. Durant des mois du lever au coucher. Gaëlle accepta les enseignements de Salim sans rechigner. Il lui apprit tout, avec sévérité, il lui apprit comment un homme devait se tenir comment elle devait gesticuler, comment marcher et manger. Avec une cuillère usée, il lui montra comment tenir une épée, il lui apprit comment frapper et esquiver comment elle devait bouger se battre, et même comment insulter. Après plusieurs mois a travailler, Gaëlle avait tout assimilé, Salim lui était content, il la voyait tout document se métamorphoser. À présent dit-il te voilà un homme entier, personne ne saura jamais que derrière cette tunique et ce turban se cache une poitrine et des cuisses bien potelés. Je ne sais pas comment te remercier dans ce cachot, j'avais douté, mais grâce à toi me voilà plus sûr que jamais et déterminé. Gaëlle, la voie que tu as choisie est le chemin le plus dur à traverser, mais avec l'aide du maître des destinées, tu vas y arriver. Voilà un cadeau pour t'accompagner, de sa poche, il sortit une dague d'orée Depuis, le début, tu l'avais caché, la dague brillait dans le noir elle scintillait d'un éclat argenter. Elle s'appelle, Obstiner puisse-t-elle vieller sur tes pas lorsque tu seras en danger, Gaëlle était émue, Salim, c'était révéler être un ami plein de ressources et de fidélité. La vie est comme un papier enrouler les mots qui y seront inscrits dépende de ta volonté soit forte maintenant et prépares-toi à d'évader. Une nuit Salim, c'étais lever et comme un fou, il commença à crier comme s'il y avait un diable devant son nez. Le garde en trombe se précipita pour l'arrêter, Salim simula une crise comme s'il était ensorcelé les gardes récitais toutes sorte de prières pour se protéger. Personne ne remarqua Gaëlle qui avait profité de la diversion de Salim pour se faufiler, elle réussit à sortir de prison sans se faire remarquer. À suivre parti 3 " la caravane de Zyad et les brigands des vallées " *** (Salim, le savant errant. Est considéré comme un maître soufi, il est originaire d'Ispahan, il vogue de ville en ville persuadées que des signes l'envoient en mission a travers le monde, il est possible qu'on le retrouve dans une autres partie de l'histoire.... Qui sait.)

Bientôt la Part 3.

Poème posté le 07/12/19 par Ismael


 Poète
Ismael



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