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Poésie libre / Rive droite- rive gauche
              
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Rive droite- rive gauche
par Hubert Mordain


Rive droite-rive gauche quelle importance, Entre les deux mon cœur balance, Je n'ai jamais su faire le choix, Car tout les deux ont des coins sympas. Sur la rive gauche, il y a la Tour Eiffel, Qui, depuis toujours est très belle, Le palais Bourbon et les invalides, Deux monuments fiers et solides. Le musée d'Orsay juste face aux tuileries, Expose les toiles de Matisse, Gaudi, Cézanne, Van Gogh, ou encore Courbet, Bien à l'abri des regards indiscrets. Le Panthéon est là aussi, plus loin, A quelques pas de l'avenue des Gobelins, Et à côté, près de l' église Saint- Médard, Le jardin des plantes est là, plein d'espoir. Près du Quai François Mauriac, Juste avant le pont de Tolbiac, Il y a la Bibliothèque Nationale de France, Qui regroupe patrimoine et connaissances. Juste en face, côté rive droite cette fois, A quelques encablures de l' opéra, Au dessus du boulevard Poniatowski, Se trouve le palais omnisports de Bercy. N'oublions pas Notre Dame et Beaubourg, Et en remontant le boulevard de Strasbourg, Il y a la gare de l'Est, puis la Villette, Ou la géode donne toujours un air de fêtes. Il ne faut pas négliger la gare du Nord, Qui fait elle aussi partie du décor, Le sacré cœur également et le moulin rouge, Lieux mythiques qui chaque soirs bougent. A deux pas de l'opéra, proche de la Madeleine, S'élève la colonne Vendôme napoléonienne, Et plus bas rue de Rivoli, il y a le Louvre, Que tous les jours des tas de gens découvrent. En repartant direction des Champs-Élysées, L'obélisque de la concorde est là, dressée, Devant un arc de triomphe dominant, Qui surplombe un magnifique environnement. Plus bas que l'avenue Kléber encore, Trône le palais Chaillot et ses trésors, Et encore plus au sud dans le seizième, La maison de radio France siège tel un totem. Ma petite visite de Paris se termine, Mais aurait pu être moins anodine, J'aurais pu parler des cimetières, Ou de tous les parkings sous terre ! Des nombreux squares également, Présents ici ou là dans les arrondissements, Le bois de Boulogne et sa population, Qui suscite bien des questions. La liste aurait pu être encore allongée, Entre les cinés ou les centres hospitaliers, Mais le principal était de parler de Paris, Ville que j'aime comme c'est pas permis.



Poème posté le 09/12/19 par Hubert Mordain


 Poète
Hubert Mordain



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