Tu sais que je t'aime,
tu sais qui je suis suis,
tout ce qui me peine,
tout de ma folie.
tu sais que tu as perdu,
la croyance en nous,
et que croyais-tu ?
il fallait être fou.
Pour croire que je t'aimerais
jusqu’à la fin des étoiles
tu m'as blessé à jamais.
et voila que je te dévoile.
Que c'est fini de croire,
que je t'appartiens,
fini la patience des soirs,
ou je te retiens.
Tu peux partir si tu le souhaite,
bien que je t'aime,
je ne veux plus qu'une couette,
et d'un mystère qui me fait reine.
j'ai retrouvé ma confiance,
que tu avais détruite,
j'ai retrouvé ma patience,
et mes désirs de fuite,
j'ai tout simplement parfois,
retrouvé le sourire.
Dans les bras d'autres rois,
tu étais mon empire,
mon empereur, tu as perdu ton trône,
puisqu'il fallait tout pardonner,
le peuple est seul juge et prône,
Il fallait que tu ne reviennes jamais.
Mais tu reviens encore,
à me faire pleurer,
te sens tu plus fort ?
pour ensuite m'enlacer ?
tu te joues de moi ?
ou est ce comme ça,
que tu nous aimes parfois ?
je ne veux plus de ça.