Le train
par Christ
Pas de parade à l'amour
J'offre mes bras sans détour
Et je meurs de tendresse,
Me noies dans nos caresses
Nos larmes se mélangent
Comme en un rêve étrange
De ce temps révolu, une larme témoigne
Il a suffit de croire en sa dernière fois
Pour qu'un autre soit là
L'amour est-il mortel ? Il renaît chaque fois
Et ce, jusqu'au trépas
Poème posté le 01/05/06
Poète
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1986
Prénom
: )
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