Haïkus d'été
par Christ
L'été en Provence
Au loin là-bas, rient les saules
Ca fume et ça crève
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Loin, la providence
La vie se meurt en son sein
Le jour se réveille
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Il pleut en été
Cela sent le chat crevé
Seul le bruit dénonce
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Pas d'eau de rêveur
Peu à pleut l'ombre tombe
Vers gris qui s'enfuit
Poème posté le 01/06/06
Poète
Ses autres poèmes
1986
Prénom
: )
En corps d'encre
Depuis ce temps je ne rêve plus
Vivre
Hasard ?
J'aime
Vercingétorix
A cet instant...
A nous !
Oh oui (sonné libre)
L'anniversaire
Cinq sens ?
Le train
Haïkus d'été
Folie !
Trop chère
Vole !
Ouaf !
Temps
Cadeau à ma mie
Remous
Marcek
Sang
L'Esthète
Ivresse en fin
Ô Terre
Génuflexion
Chouette !
Horizon
Corpus subliminal
Au glas de l'au-delà
A tous les amours
Je ne veux rien
Ace
Rien
Centenaires
Plateau télé
Les méandres
Au glas de l'au-delà
SAF-SDF
Un p'tit conte à régler !
Bonne Année !
Vie à mors
Raison
Freedom, enjoy !
Le monde malade ?
Saint La Pierre qui râle
Miam !
Ivresse en fin
D'alexandrins à un
Adieu Machine à Laver
Allô ?
L'amusé
Elle ?
Re-création rétro éclairée
Sucre
Allégro
Black
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Always again
Rhâââ
Encore et encore
Memento mori
Encore
Hasta luego
Jeu de con
Elle dore à dos
Avant
Non !
Mourir
Pause !
A couteaux tirés
Etoilàmatelas
Décembre en cendres
Crémaillère
Sur le zinc
L'Abricourge de Proust
L'épate à l'ail
Sourires d'ado'
A vie
Combien ?
Evolution
...
Ma grotte
Hahahaha !
Le père nowell est un pote
Là la lie, lalilaaa !
Nous étions beaux