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C'était Là-Bas..........
par Polymnie2


Pourquoi célibataire? Parce que tout était personnel à chacun restait sans aucun mot laissant nu l'un et l'Autre. Nous ne vivions que l'étroite amitié poétique jamais vécue avant, C’est un peu long mais il faut la connaître pour l’apprécier. HASSEN 2 Te souviens-tu De ce poème que j’avais posé En cette fin novembre 2014 « Entre deux regards » Tu es venu sur ma page, occupant toute la place en messages échangés Ensuite je t’ai visité et commenté. Le grand partage ce jour-là a pris naissance. J’étais encore « toute neuve » sur le site, et je vois ton poème Annonçant la perte de ton épouse. J’allonge à la suite, ma peine parmi les partages, sur commentaire Et ajoute : Pardonne-moi, je ne peux applaudir par un vote ton chagrin, Tu m’as remerciée et je t’ai répondu par ces quelques mots « Dès que je verrai un sourire sur ton visage je le voterai » Tu continuais à te nourrir de mes mots Ouvrir plus grand l’éventail de tes vers, Qui étaient d’une écriture comme je n’avais encore Jamais vue. De la dentelle pure, un respect en sa forme et Des images frisant l’éternité. J’étais à genoux sur tes œuvres, Tu me tendais un calice où j’aimais me ressourcer, un partage Jamais rencontré. Oui, je me souviens ! ce jour-là tu es arrivé Sur ma page, silencieux, m’offrant un bouquet de fleurs avec En gros écrit : « Me voilà, tu as pansé ma peine et c’est mon Sourire que je t’offre avec ce poème gai fleuri que je mets à Tes pieds. Il n’est pas à la hauteur de ton délicieux poème « Parle-moi de fleurs » que je n’ai jamais cessé de lire » C’est mon cœur déposé sur la voix de mon Âme en son parfum l’encense versée est calice. Son silence est prière les oiseaux Chantent le jour pour la nuit Toute en lumières. Ce sont mes Mots et non Les tiens un Vaste souvenir me Rappelle tout, sauf ta finesse Trop belle, elle se savoure comme tout Délice, l’assaisonnement de fines épices Manquent chez nous ou l’orfèvre en la matière. Chaque jour tu m’envoyais Tes poèmes traduisant les miens Pour poser un chef d’œuvre, toujours Me demandant : « C’est bien cela que tu voulais dire »? Ou « Est-ce que j’ai su traduire pour le faire comprendre »? C’était toujours parfait. Tes messages arrivaient toutes surprises Tu étais la joie de vivre, et ta page devenait source d’Amour pour Tous ces jeunes qui t’entouraient, te commentaient avec une grande Fidélité et tel un essaim d’abeilles venaient déguster le sucre pour le Redistribuer. Puis, oui, l’affreux s’est déposé, sans crier gare, à midi D’un jour, où tu m’adressais ce message : « Un mot bonne journée A toi, moi je dois partir ». Je regarde ma montre, et je réponds Merci c’est midi, moi aussi je te quitte. Un second message Arrive : « Tu n’as pas compris, je quitte le site, il faut Que je parte. Pourquoi ? parce que je me sens mal à l’aise et sans sécurité, je te recontacterai Quelle douche froide tombe sur moi. J’envoie un message : « Surtout Ne cesse pas d’écrire, c’est Indispensable pour toi. Et 24 heures après « Ne t’en fais-pas ! J’écris partout, cela Du matin au soir et même Dans mon lit la nuit, jusque Dans ma voiture la conduisant. Veux-tu bien voir ma page, elle Ne peut être abandonnée, rassure Mes fidèles, transmets leurs mes Nouvelles et réponds pour moi Aux commentaires s’il te plaît Si tu le peux, et amitiés » Bien-sûr j’ai posé un Bel et grand Encart sur Sa page ! Deux jours après J’ai répondu aux commentaires Avec le froid dans le dos. Je me sentais Mal, je n’avais plus de nouvelles. J’ai compris L’utilité poétique de HASSEN devant une jeunesse A l’affût de son savoir pour ouvrir les portes de l’Amour Lui-même, inconnu par ces jeunes âmes, entières, confiantes. J’ai répondu à toutes questions qui me faisaient sourire et pleurer « Alors l’amour c’est aussi sourire et tendre la main vers les humains Ce n’est pas seulement coucher ensemble comme tous, je le croyais » ! J’ai vu l’urgence de ne pas les abandonner. Et j'ai vu le soucieux du Poète. Hassen 2, j’ai offert ma joie, j’ai partagé et par toi je suis heureuse ! merci*! Tous les messages de mercis avec leur pourquoi et leurs efforts suivis aussi. Noël et le premier janvier2015 sont passés avec la suite qui a pris fin totale J’avais copié sur Word Le magnifique poème tout de vert habillé La couleur de l’espérance Et de la beauté Dès l’ouverture de l’ordinateur je l’avais sous les yeux. Je désirais un jour vous le transmettre, mais, lui comme Certains de mes poèmes ne sont pas réapparus suite à des Ennuis d’ordinateur en 2015. Merci à certains si vous l’avez connu Et à tous pour savoir qu’une chaîne d’amitié N’est jamais interrompue de près comme de loin. Polymnie2, ce 1er octobre 2016 * C'est un commentaire d'une lectrice assidue bien entendu.



Poème posté le 01/10/16


 Poète
Polymnie2



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