Un deux trois soleil
par Armand
Sur une page blanche
Que peut-on bien écrire, d’autre
Que le temps qui passe, d’autre
Que le temps fini, d’autre
Que les heures qui s’effacent
Dans les méandres de l’oubli
Peut-être un deux trois soleil
Il était une fois
Un jour sans pareil
Ou bien … je ne sais pas
Pourquoi pas, sans égard
La veille du lendemain
Pour que le temps s’égare
Là, juste pour demain
Sur une page blanche
Que peut-on bien écrire, d’autre
Que le temps qui passe, d’autre
Que le temps fini, d’autre
Que les heures qui s’effacent
Dans les méandres de l’oubli
Peut-être qu'il faudrait écrire
A l’encre bleue du temps
Qu’au grenier des soupirs
Il y a beaucoup de vent
Beaucoup de vent ...
Poème posté le 09/09/09