(Oui, mais après)
Pour voler mon âme, loin de l'usure du temps,
Sans prendre de came, apprendra le vent.
Je prendrai ma drogue, rien qu'avec mes souvenirs,
Dans le catalogue, qui me fait souffrir.
Et lorsque mes ailes, pourront enfin me porter,
C'est à tire-d'aile, que je m'enfuirai.
Enfin libéré, je poserai sur vos terres,
L'ombre d'un regret, pour cacher vos guerres.
Pour voler un être, doit attendre cet instant,
Ou son âme est prète, lui agonisant.
Pour voler un homme, doit avoir fait ses printemps,
Et moi pauvre pomme, je souffre mon temps.
Commentaires: De ce "travail" sur votre thème VOLER m'est sorti ce poème "biscornu" (comptage des pieds) que je vous livre tel quel car je trouve qu'il "chante" bien.