À l'ukraine notre patriarchie?
par Kiriyatskiy
par Kiriyatskiy
«Oh María,
Luz del día
Tú me guía
Todavía».
(Johan Ruýs,
arçipreste de Hita)
«Marie, pure,
Ciel du jour,
Amènes, Sûre,
À l’amour» 1
(Jean Ruis,
archiprêtre de Hite)
L’âme d'Hitler
Lucifer
Plaît, Chimère,
Pour Bandère.
Ses fenêtres
Cachent la guerre
Des ancêtres.
Qui nous tue,
Est perdu,
A rendu
L’or cher du
Sang et crie que
T’a vendu
L’Amérique.
Vive le chien
Ukrainien,
Vents ses mains
Aux gardiens
De Sire, contre
Le chemin
À ses ordres.
Mais cette bête
Perd sa tête.
Par la fête
Des conquêtes,
Tire la Byzance.
Elle rejette
Sa tolérance:
«Cependant,
Frère gourmand
Russe, attends
Ton fin lent.
L’antagonisme
À tes gens
Aime ce fascisme. »
Monde Entier,
Sans pitié,
Amitié
En moitié,
Kiev décharge,
Lui mentiez,
Ses places larges.
https://youtu.be/J_UWafVKjLw
Président
Pipe, géant
Très urgent,
En bougeant
Par ses marches,
Vole l’argent
Au patriarche.
Mère des villes,
Laure des styles,
Donne ta file
Au péril
Bien probable.
L'homme fragile
Voit ton diable.
Au destin
Des chrétiens,
Constantin
Trouve le lien
Au futur de Byzance,
La Rome sienne
En croyance.
Hippodrome,
Car ta Rome
Perd son nom,
Les sous-hommes
Veulent disparaître.
Lors nous sommes
Sous leurs Maîtres.
Contre toutes trois Romes en charge
Amérique, tu “prends” et changes
Nos concepts, car tu nous manges,
Deux églises colombes anges.
Contra todas las trés Romas
Tú, América, nos “tomas”
Para que ya nunca comas
Dos iglesias palomas.
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1 La traduction de l’épigraphe de Johan Ruys a été rédigée par Alexander Kiriyatskiy, l’auteur de ce même poème en français et en espagnol.
Poème posté le 16/09/20
par Kiriyatskiy