Le paradis vert
par Loren
par Loren
Les arbres verts tendrement enlacés
Dans le berceau aimé de l'humanité
S'aimaient d'amour pur enchanté
Dans les harmonies dorées sublimées.
Près de la douce mélodie des coeurs,
Les larges feuilles d'or abritaient
De belles cascades extasiées
Sous le doux soleil pâle rieur.
Les eaux émeraude pétillaient en choeur
Et scintillaient d'un ardent bonheur
Qui fleurissait les berges empourprées
De sentiments secrets veloutés.
Evaporés dans les nuées charmées
Des cieux gris attendris et insoumis
L'amour déposait des larmes enjouées
Sur les vapeurs éblouies de la nuit.
Poème posté le 28/12/20
par Loren