Sac à dos
par Poetedza
Ne sachant écrire ni sonnet ni rondeau,
Ma poésie est libre comme l’oiseau.
J’écris spontanément sans quiproquo,
Pour t’étaler mon sac à dos qui pèse gros.
Tu es mon autre, tu es ma peau,
Mon prolongement , mon écho .
Je t'écris des monceaux de mots,
A dire je t’aime sans trêve ni repos.
A mon âme, tu es son fourreau,
A mon cœur, tu es son bourreau.
Dans tes yeux, je vois mon ego,
Il est doux ton regard et beau.
Matin et soir j’admire ta photo,
Avec ton beau sourire jeunot.
Toi, la guérisseuse des maux,
saurais-tu me sortir du caveau.
Mon cœur las, veut son repos ,
Il endure du mal du vrai et du faux.
Veux tu bien allumer ton falot ,
Pour venir accoster mon bateau.
Poème posté le 10/08/17