Tu m’es tellement étrangère que je n’ai pas de mot pour te décrire. Si un jour tu t’arrêtais pour me dévisager, mes mots ne sauraient te retenir. Tu es la vague, l’écume, la dune légère fuyant sous les pas. Tu es le vent, la pluie, la brise du soir qui emmène au loin les marins solitaires. Tu es celle que je ne connais pas, celle que je devine à ton souffle. Liberté.