Les débuts de ronsard...
par Tonindulot
Quand je pense à Ronsard éconduit sèchement
Parce que démuni de solide fortune,
Je me dis qu’il aurait dû trouver plus de tune
Pour pouvoir épouser sans plus d’empêchement.
Il fut pour pauvreté reçu très fraîchement
Malgré son aptitude à décrocher la lune,
Astre mis en doux vers à portée de sa brune
Dont les parents têtus pensaient plus chichement.
Se voit-il de nos jours pareille persistance
Dans la gaffe fatale aux gens sans assistance ?
Le cœur est pourtant bourse où l’Amour se tapit.
Qu’on se le dise encore avec pour habitude
De fustiger toujours le discours qui glapit.
Cassandre en fut jouet sans nulle latitude !
. Poème posté le 15/03/21
par Tonindulot
Poète
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Armez vous de bons sens...
A l'heur du pastiche....
Sur une idée d'un autre voici mes vers ...
Au donneur de leçon...
Après avoir longtemps érré sur le rivage....
Aimer toute saison pour ce qu'elle est
Amours enfantines, marques éternelles
Ferraillez, mon Ami, sans plus vous courber
Que n'ai-je donc su plus tôt....
Délire ou psy chose en léonins
En ma rase campagne...
Être enfin homme de poids...
La potée ne sale pas la marmitte...
Il est mort le soleil...
Que soit la joie....
Des pensionnaires académiques...
La fermière infirmière....
Sur le trottoir...
Ô muse infirmière donne moi l'onction...
Au film de la vie...
Ma femme et le succube...
Deux pour le prix d'un...
A toi qu'on dit étranger...
Le rat de marais...
Avoir un compte en cieux...
Prenez mon sac cadeau...
Clerc de lune...
Je m'apprête pour l'automne...
Le sot fat sans fauteuil....
Les moissons sont finies...
Que jeunesse se passe....
Succombez donc aux éclats d'eau bue..
A toi poète de toujours....
A celui qui doute...
Gardons, mon ami, la force de gloser....
Pour mieux viellir ensemble...
Satyre à boulets rouges..
Ô Princesse en errance...
Parlons peu, parlons bien...
Difficile d'être en tête de l'art...
Le sens et l'assommoir...(2 rondeaux)
Je me suis trompêté de fable
Gardons surtout l'espoir...(rondeau)
L'écot du vigneron...
L'affable en galant bourg....
Le ciel au style d'hiver...(rondeau)
Un mec affable doit rester mec à fable
Je suis bien un berger
Fait d'hiver
Le Médoc peut soigner...
Un printemps sans hirondelle...
Au final, la coupe des vices....
Buvez ces quelques vers....
Dur de suivre le confinement
Ô toi ma douce Mie...
L'onirique vie sans appât...
Cousine ! prenez-moi...
La décadence en décas denses...
Ce temps me porte au nu...
Devenez professeur de l'être...
Ne pleure plus, ami fidèle...
Pourquoi donc faire jeun..??
Ô soleil mi-haut....
J'ai rangé mon violon...sans sonner
Les mots d'Est, dès le levant...
N'écrivez plus cela....
On ne nous tolère plus rien...
Pourquoi pas aujourd'hui ?.....
Être un Homme de lettre.....
Oeil pour oeil, vers pour vers....
Allez-vous faire voir ?
Le Pari est au vert....
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Parlons peu, parlons bien...
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