A l'aube encore pourpre en terrible destin
De tes amours voilés, de leur idées saignantes
Avenirs violés, toutes fois dérangeantes
A cracher sur ta pierre en ce destin sans fin
Je porterai ce verre à l'empire du grain
Comme à ces avares aux règles obligeantes
Ceux-là que rien ne touche aux pensées affligeantes
Je chérirai la mort si ton cœur vit en vain
Dire « plus jamais çà » et laisser encore vivre
En ce sombre refrain qui te rend autant ivre
Cette chanson d'amour qui nous fait tant défaut
Les couleurs de tes maux changent la vie trop belle
Des regards du passé, des haines de « trop tôt »
Les mots se mélangent et la vie est réelle...