En aparté ou les privilèges du moindre. x/le privilège du luxe.
par Gjaril
L'abondance dont l'esprit
germe en ceux qu'elle nourrit
me semblant aliéner
le désir à sa corne
je faillis aux besoins
qui subornent l'envie
pour ce que d'être un homme
a d'en valoir les choix.
Rien ne doit à l'esprit
que la chair n'ait conçu
mais sa quête humanise
l'animal que je suis.
Etc... éternellement, la place est libre, au suivant(e)...
si le coeur vous en dit ou que l'envie vous en prend...
Poème posté le 29/04/21
par Gjaril