Gifle
par Salus
Qu’as-tu, cruel, cloué
Au poteau de mes pleurs !
Sans ton amour, les peurs
De mon esprit floué
Saignent… il sourd du rêve !
Mes larmes éperdues
A ce charme pendues
Coulent, coulent sans trêve…
L’histoire, c’est banal,
Et l’enfer quotidien
D’un affect ophidien,
C’est tout un bacchanal !
Je pars, de ma démarche chaloupée,
Tu finiras d’effacer mes façons,
Salaud, dans les bras d’une autre poupée.
… Ce que les hommes peuvent être cons !
Poème posté le 12/01/18