A la source jeune et riche de l’arabesque,
Près de la radicelle et de ses entrelacs,
La goujonnette au roseau –Bosch- tocsait le glas
D’un départ au-delà du dôme en presque fresque ;
Quand tu, du plafond, le triste plâtre, éclatas,
Qu’émergea, lapis-lazuli, le bleu céleste,
Et qu’aux cristaux des vers, on délégua le zeste,
Agrume, en t’éparpillant, Splitch ! Clair taffetas !
Quelque détail farté s’immole, au loin, s’immisce
Un fluo vert, une perruche, un bec d’ara
Cranté de crinoline rose, au noir, s’irise
Au pied du vase qu’un tropique air essaima,
Replongeant en son encre, cette penne, un soir,
Jaillit, enluminure au terme d’une ascèse,
On eût dit un mulot, une genette, un loir,
Une majuscule se gaussant de sa glaise.