Un espoir envolé
par Ismael
L'espoir m'a volé, il m'a pris ce que pourtant, il m'avait donné.
Un oiseau de malheur au plume argenté que nulle n'aime fréquenter m'avait dit de me méfier.
Mais le ciel lui m'a assuré que l'océan sur sa peau ne fait que refléter, un bleu de toute beauté
Alors j'ai succombé et me voilà l'aire bien embêtée comme ce jour ou dans ce lac, j'ai voulu pêcher la lune pour l'emporter.
Qui avait dit que la vie n'était qu'un festin qu'ils nous fallait que boire et manger, rire et chanter et parfois même se laisser s'enivrer.
Elle ressemble plutôt un champ de campagne ou des batailles se sont livrer. Et ou des Canon on exploser
Mon adversaire a gagné, il me nargue comme ce geôlier qui a la clé qui pourrait me libérer et se sens plein de supériorité.
Un long fleuve de penser un vent de gaîté et demain pour tout effacer chaque jour est une nouvelle vie et une vie pour chaque baiser.
L'espoir en miroir me jure de le croire qu'il n'a nulle intention de ne me tromper que beaucoup on gagner à tout lui confier.
Je souris comme quand la pluie vas tomber parce que je sais que je vais encore croire, à ces mots, mouillés et qu'après il ne me restera que des rimes pour pleurer.
L'espoir pour notre bien parfois nous abonne pour mieux nous libérer.
Poème posté le 29/09/21
par Ismael