Souvent ils s'éloignent de la maison
Mais toujours ils reviennent.
Même si leur fourrure ressemble à une peluche,
Jamais ils ne seront un jouet.
Je leur laisse leur liberté
De courir, de sauter
Mais ma chaumière
Leur appartient.
Là, ils y retrouvent leur coin douillet,
Le lit, le coussin, le canapé.
Moi, je leur donne tout mon amour
Et leurs doux ronrons me bercent.
Quand ils sont tout près de moi,
Je deviens patte de velours...