Lorsque potron-minet n’en pourra plus de boire,
les noix s’isoleront près du conservatoire.
et fleuriront au flan des soudoyants gibus.
Fi du cheval-vapeur ivre de l’assonance !
Sa tasse a pris racine au cumulo-nimbus
aux fins d’entrelarder le flou prémonitoire.
du frêle crocodile émargeant pour l’Histoire,
et de son parapluie émergeant son quibus.
Fi du cheval-vapeur ivre de l’assonance !
Icelui lézardait une étrange ordonnance.
au bocage insolent plissant sa lieutenance.
Usinons nos espoirs sous ce palétuvier
qui roucoule en chemin quand explose janvier
et que la guêpe accoste au seuil de la phynance.
Si la sonate au sol reluque le soleil,
cavalant doucement vers l’industrie des anges,
nous porterons aux nues le ragoût de mésanges
qui nous flatte un peignoir au cosinus pareil.
Ivre comme un poireau qui n’en peut plus d’absoudre
Plat comme un arc-en-ciel aux douceurs de charbon
qui mange son Imac et voudrait en découdre,
urinons une horloge et nous aurons tout bon.
Lors viendra le serpent chéri des dés à coudre.
Ce vingt-troizain surréaliste est composé suivant les 6 premiers chiffres du nombre Pi
3/1/4/1/5/9.