On se heurte
par Floreal
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par Floreal
On se heurte
à chaque mouvement
on veut dire
et l’on blesse
on a besoin de faire
alors on meurtrit
et les autres
et soi-même
et l’on a mal de faire mal
on ne le veut pas
on le redoute
et, seul,
en soi,
on souffre
d’être le jouet
et l’acteur, malgré soi,
du malheur du monde
même si
en même temps
-nous sommes d’une telle audace
et d’une telle force-
nous ne pensons
et ne vivons
que pour le bonheur du monde !
Francis Avril
Poème posté le 30/01/22
par Floreal
Poète
, Interprète
Ses autres poèmes
On se heurte
Vivre
Oh! fuir
Parfois le rêve
On s'illusionne
Car chacun
Ces riens
La sirène, le marin
Une fois découverte
L'anéantissement
Ce n'est pas un éloignement
Le discours
Toutes nos interrogations
Est-ce que, au moins
Et pour structurer
C'est la même chose
Penser autrement
Prendre comme ça vient
Le ciel
Nos idées
Ce matin
Nous on est beaucoup plus
On revêt le geste
Et puis
Plus capable
Après la mort
Il y a un blocage
La nuit
Le monde et nous
L'important
Le jardin
oh ! ce soir encore
Nous, les pauvres gens
Revenir à la simplicité
Il faut continuer
Trop différents
Les mots
Tous ces rôles
On s'habitue
Avant on était
Ah ! on en raconte
Ses autres interprétations
Ces riens
La nuit
Parfois le rêve
Le monde et nous
Tous ces rôles
Nous, les pauvres gens
Ce matin
Car chacun
Revenir à la simplicité
Plus capable
oh ! ce soir encore
Les mots
Oh! fuir
Le discours
Chanson d'automne
Trop différents
C'est la même chose
Le jardin
L'important
Le dromadaire
Épilogue (extrait)
Il y a un blocage
Ce n'est pas un éloignement
Penser autrement
Est-ce que, au moins
Automne
Et pour structurer
Vivre
L'anéantissement
Toutes nos interrogations
On se heurte
Prendre comme ça vient
Une fois découverte
On s'illusionne
Nos idées
Nous on est beaucoup plus
Il faut continuer
Le ciel
On revêt le geste
Et puis
On s'habitue
Avant on était
Ah ! on en raconte