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Gaza
par Claudel


(À la manière de Nostradamus) Peuple de Palestine et qu'on oblitéra, Ennemi d'Israël, combattant du dédain. Cri du sang arabe de la mer au Jourdain ; Grand feu du Proche-Orient dont Gaza brûlera. Opprimé de la bande ; enfant, il tombera ; Frénésie, gabegie et peur sont un délire. Et quand entendra-t-il le psaume de la lyre ? L’espoir d'un accord où la paix libérera ! La haine est complice et le feu perdurera ; La voûte céleste constelle un mauvais signe. Hélas, le désarroi sera le chant du cygne ; Ce sera l’œuvre ultime où le mal restera. Ô ! Prie Ouranos ou prie la mère Gaïa ; Aspire à la bonne grâce de la survie. Rien de cela n’existe où le désespoir vit. Hui, il fuit la fête où jadis, il égaya. * Selon l'ONU, la bande de Gaza pourrait devenir « invivable » en 2020, en raison du blocus israélien qui conduit à un approvisionnement limité en énergie et en eau, à la dégradation du système de santé et au très fort taux de chômage.






Tous droits réservés © Claude Lachapelle / Février 2019


Poème posté le 23/02/19 par Claudel


 Poète
Claudel



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