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Sid –
par Attention

Highslide JS
par Vie

Dessin


I Tu n’as pas vu toutes ces belles plumes ? Regarde un peu maintenant ta tête… Ce nez gonflé en forme de prune Et ton visage, toute une bouche Faisant le grand tour… de la fête ! - Et tu voulais être… Poète ? Regarde autour… Vraies Poésies ! Et toi, Ô, Sid, tu t’entêtes A faire encore « comme les poètes » Et ben… ça donne des « sidéries » Une pause s’impose… descends plus vite La Lune n’est pas un reposoir Et ces nuages qui s’effritent Ils font la pluie, ils font de l’ombre Ce n’est pas toi…dans leur miroir Il y en a encore qui vont te lire Par politesse… pour rire aussi Prends ton « poème qui déchire » Seulement ces larmes d’une « presque lyre » Qu’Apollon soul, perdit, ici… Ne touche plus… car ces délires Feront des larmes…de comédie Toi qui voulait être « Poète » Vibrer dans l’âme de l’Infini Ô, cet instant, où le temps s’arrête… Regarde ta tête… mon Ami ! Quoi ? Tu voulais dire quelque chose Avant la fin…un dernier mot ? Secouer le marbre…pour qu’il parle Vivant, au milieu du bistro ? Ta plus belle « méta-phore – morphose » C’est dans ton âme qu’elle se cache Derrière ton visage, le plus beau… ! Et peu importe, que pense le monde De ses plus belles tragédies De ce poème comique… qu’il gronde Ô, toi et moi, on ri en larmes Et bien abscons, c’est notre charme - C’est le Poème qui tient la plume ! Et nous… on chante, ce qu’il dit… Et qu’est ce qu’on est, des mots, de l’encre… ? Rions de notre rôle, le cancre ! C’est ce Poème, derrière le monde Qui dans sa phrase nonchalante Par pur hasard ?! Il nous invente… Sourire caché entre deux larmes Trois points entre deux parenthèses (…) Clin d’œil, Lumière pure, brillante Dans la pierre jetée, réfléchie Amour voilé d’un masque comique Le seul message dans Ses écrits… II Silence…Ecoute… Le Poème respire ! Et nous… ? Des cordes vibrantes, sa lyre On croit…qu’on est vivants, ici… A l’intérieur de son cœur… on est ! Ô, il nous fait danser… il soupire A chaque tremblement d’éternité Et tout à coup… il nous regarde ! Et merveilleux, toutes nos tristesses Les tragédies, les maux, détresses D’un grand sourire…Bienveillance, (Qui dans nos larmes se reflètent, Proportionnel, en plus petit… !) C’est Lui, qui doucement efface La grande poussière dans nos esprits Des vagues ? Non, c’est seulement l’écume Que ses yeux font quand ils s’allument Dans cette joie sur existentielle C’est le Poème… qui loin, derrière Dans sa belle Larme, la plus sincère Il nous dessine d’un trait de plume Bulles, rêves flottants dans l’Infini Visages, sourires, drôles d’histoires, Humour d’amour, sagesse, quelle gloire ! On est le « fin mot » à savoir… La chute, la blague, l’ dernier espoir - Triade magique, c’est Nous, ici (…) Joyeux vivants d’une Belle Chance Insouciants, sans importance Ces trois petits points, (qui font de rimes) « Comme des poèmes », plus petits… :) Jacques AADLOV-DEVERS

« La gloire du monde rend l‘homme triste et vain »

Louis Cattiaux



Poème posté le 01/12/19 par Attention


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