Songe d’une nuit de mai
par Peirelosastre
Après avoir ôté ta nuisette diaphane,
Ma bouche a doucement sur ton buisson ardent
Déposé un baiser et ma langue profane
A fouillé derechef ta grotte longuement.
Entre mes doigts gourmands j’ai titillé l’organe,
Ton clitoris en feu, docile et turgescent,
Puis je l’ai aspiré, fébrile, goulûment,
Avant de t’explorer de ma puissante liane.
J’ai joui dans ton corps jusqu’à en perdre haleine
Et tu m’as en retour dévoilé la richesse
De ces quelques instants car tu es une reine
Et tu m’as prodigué par tes douces caresses
Un plaisir sans égal et mon cœur en liesse
De ton amour battra quand mon corps se déchaîne.
Pierre Schneider, dit Peire Lo Sastre © copyright
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Poème posté le 05/10/22
par Peirelosastre