Histoire ancienne
par Gjaril
Dans l'écrin de vos coeurs
ouvert aux quatre vents.
J'ai tenté bien souvent
de trouver un joyau.
Mais que de peine perdue
à débusquer l'amour.
Plus les écrins sont beaux
plus les joyaux sont faux.
Alors préférant l'ombre
au velours du clinquant.
J'ai livré ma passion
aux genoux d'une femme.
Et de l'amour aveugle
oublié au tombeau.
S'eveilla la tendresse
qui bêle en chantant faux.
Poème posté le 11/04/20
par Gjaril