Légèrement s’envole aux caresses du vent
Comme un parfum léger déposé sur ta main
Des baisers de rose, des souffles de printemps
L’amour se lit des yeux, dans des sens calins.
Puis d’un éclair de rouge éclatant de passion
Mon cœur se prend au jeux, et s’y laisse guider
Le corps mis à l’écoute avides émotions
Blesser de tes lèvres, j’écoute chantonner.
Et plus rien ne me lie, à tes branches, tes épines
Inflorescence haineuse, écoute mon courroux
Je te couperais terre, et laisserait le soleil
Te vider de ta sève et t’éclairer l’échine.
Et tu pourras venir, te rependre à mon cou
Pour ne plus me couper, je repars vers le ciel.