A faire s’éberluer le capitaine Haddock
par Peirelosastre
Une coureuse de rempart, poursuivie par un vil fot-en-cul, alla se cacher derrière une chiabrena où un aliboron fesse-mathieu tentait de soudoyer un nodocéphale.
Cette pétoule ne suffisait pas à masquer cette chattemite qui se retourna, saisit ce bourse molle et tel un vaillant orchidoclaste attrapa ce gougnafier et lui fit manger ses coprolithes.
Le baronnet, cet arrière-faix de truie ladre, ne se le fit pas dire deux fois et, gros pourceau qu’il était, s’enquit auprès du philistin de la façon dont il pourrait occire ce fifrelin de la manière la plus adéquate.
C’est alors que ce coquebert, cossard parmi les sycophantes, escroqua le foutriquet et le laissa comme un bec à foin.
Cossard quoiqu’écornifleur, il se fit faraud et fatrouilleur et ce paltoquet que rien n’arrête, comme un patte-pelu en goguette, zigouilla le pauvre hère.
Pierre Schneider, dit Peire Lo Sastre © copyright
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Poème posté le 24/01/23
par Peirelosastre