Le Garno
par Paul-Jean TOULET
L’hiver bat la vitre et le toit.
Il fait bon dans la chambre,
À part cette sale odeur d’ambre
Et de plaisir. Mais toi,
Les roses naissent sur ta face
Quand tu ris près du feu...
Ce soir tu me diras adieu,
Ombre, que l’ombre efface.
(Contrerimes)
Poème posté le 27/12/09
par Rickways
Ce poème a été vérifié et le contenu authentifié.
Poète
Ses autres poèmes
A l'Alcazar neuf
A Londres, je connus Bella
Ah, Curnonsky
Aimez-vous le passé ?
Ainsi, ce chemin de nuages
Amarissimes
Au détour de la rue étroite
Avril, dont l'odeur nous augure
Bayonne
Boulogne
C'était longtemps avant la guerre
Ces roses pour moi destinées
Chevaux de bois
D'un noir éclair mêlés
Dans la rue-des-deux-Décadis
Dans le lit vaste et dévasté
Dans le silencieux automne
De tout ce gala de province
Dessous la courtine mouillée
Douce plage
Embrassez-moi petite fille
En Arles
En souvenir des grandes Indes
Enfin puisque c'est Sa demeure
Epitaphe I.M.N
Fô a dit...
Géronte d'une autre Isabelle
Il pleuvait
In memoriam J.G.M
Iris, à son brillant mouchoir
J'ai beau trouver
J'ai vu le Diable
L'immortelle, et l'oeillet de mer
L'ingénue
La cigale
La première fois
La vie est plus vaine
Le coucou chante au bois qui dort
Le Garno
Le microbe : Botulinus
Le sonneur
Le temps d'Adonis
Le tremble est blanc
Les trois dames d'Albi
Longtemps si j'ai demeuré seul
Me rendras-tu
Molle rive dont le dessin
Nocturne
Nous jetâmes l'ancre
Ô jour qui meurs
On descendrait, si vous l'osiez
Pâle matin de Février
Plus oultre
Pour une dame imaginaire
Princes de la Chine
Quand l'âge
Quel pas sur le pavé boueux
Quelquefois, après des ébats
Rêves d'enfant
Saïgon
Sur l'océan couleur de fer
Talmud Babylon
Tandis qu'à l'argile au flanc vert
Toi qu'empourprait l' âtre d'hiver
Toi, pour qui les dieux du mystère
Tout ainsi que ces pommes
Toute allégresse a son défaut
Trois châtes de Provence
Trottoir de l'Elysé' -Palace
Un Jurançon 93
Vous qui retournez du Cathai