Un pétrel prospérait au cœur d’un archipel.
Ses copains le trouvaient un poil irrationnel :
en mer il rouspétait, à terre il s’empêtrait.
Ce pétrel illettré se la pétait sévère.
À petits pas pompeux en pépère il errait,
le bec humant le vent, le croupion solennel,
tout comme s’il était spatiotemporel
Pies de mer, cormorans et sternes se marraient
en zyeutant ce zoziau se la péter sévère.
En outre, allitérait le pétrel sédentaire.
— Mais dites-moi pourquoi faut-il qu’il allitère ?
Allitérer ses vers, est-il plus aberrant ?
vitupérait Lily la mouette littéraire.
S'agissant d’un pétrel, c'en est pétrifiant !