Quand je serai bien vieux
par Jim
Quand je serai bien vieux sans aucune chandelle
Je rêverai encore encore aux toutes belles
En souhaitant de croiser au coin d’une ruelle
Une verte mémé pour sauter à marelle
Je lui dirai Ma chère allons au dernier saut
En cet endroit si doux en cet endroit si chaud
Garder notre secret tout en catimini
Dans cette chambre ouverte dite paradis
Et voyez ma belle âme à travers mes paupières
Mon regard dans vos yeux se détourner d’hier
Que si tremble ma main de nerf ce n’est faiblesse
C’est que tout simplement elle tire la laisse
Qui tient mon cœur au bout qui s’emballe pour vous
Et vous soit souffle mon baiser qui se dévoue.
08/09/2003
Poème posté le 01/04/10