Pour une dame imaginaire
par Paul-Jean TOULET
Pour une dame imaginaire
Aux yeux couleur du temps,
J’ai rimé longtemps, bien longtemps :
J’en étais poitrinaire.
Quand vint un jour où, tout à coup,
Nous rimâmes ensemble.
Rien que d’y penser, il me semble
Que j’ai la corde au cou.
(Contrerimes)
Ce poème a été vérifié et le contenu authentifié.
Poème posté le 27/12/09
par Rickways