A travers… l’ Homme cinéma
par Attention
Et la brise de mes paroles me fait du bien
Du bien poussière et du vent…
Elles sont vivaces comme fanfaronnes et tiens
Serait-il étonnant ?
C’était la brise de mes paroles, ce tsunami multicolore
Levé dans le rayon passant ?!
Pourquoi serait-il étonnant,
Dans vos bivouacs où on s’endort
Quand, (oui, bien sur, of course, c’est ça)
Les grands « covidologues » s’explorent
Après la série cinéma…
Il n’y a point de brise, le silence d’or…
Le Monde dort
Et tous les rêves à même le sol
Qui bougent encor un peu ou pas
Brisés, dans un sol bémol
Et la brise de mes paroles
Du bien poussière et du vent…
Tous endormis et plus personne
N’entends la brise de mes paroles ?!
Un chien, un chat ici ronronne
En gardant bien sa casserole…
Et cette tornade, sortie de moi… !?
Par la caisson de basses, pas de bol
De sous le canapé du roi
(O, quand je lève le son, j’adore
Ce Verbe qui vibre dans la Joie
Faisant trembler les murs sonores
Et même la Terre entière, parfois…)
Chaque mot, pressant, comme j’adore
D’une résonance multicolore
Le son brisé en milles éclats
Et la brise de mes paroles me fait du bien
Du bien poussière et du vent…
Quand,
Les soixante millions s’endorment
(Combien restent Eveillés encor ?)
Les rêves « covidisés » éclorent…
Malgré le bruit de ces Paroles
Murmurées en sol bémol
Après… la soirée cinéma
Les rêves « covidisés » éclorent
Bercés par le Grand Tralala…
Poème posté le 28/01/21
par Attention