Les trois dames d'Albi
par Paul-Jean TOULET
Filippa, Faïs, Esclarmonde,
Les plus rares, que l’on put voir,
Beautés du monde ;
Mais toi si pâle encor d’avoir
Couru la lune l’autre soir
Aux quatrerues,
Écoute : au bruit noir des chansons
Satan flagelle tes sœurs nues ;
Viens, et dansons.
(Chansons)
Poème posté le 27/12/09
par Rickways
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Poète
Ses autres poèmes
Dans le silencieux automne
Avril, dont l'odeur nous augure
Toi qu'empourprait l' âtre d'hiver
Iris, à son brillant mouchoir
Ces roses pour moi destinées
Dans le lit vaste et dévasté
Il pleuvait
Le microbe : Botulinus
Nocturne
Fô a dit...
C'était longtemps avant la guerre
Le Garno
Princes de la Chine
Le coucou chante au bois qui dort
En souvenir des grandes Indes
Trottoir de l'Elysé' -Palace
D'un noir éclair mêlés
Géronte d'une autre Isabelle
Rêves d'enfant
Amarissimes
La première fois
Boulogne
Ah, Curnonsky
Le sonneur
Talmud Babylon
La cigale
Tandis qu'à l'argile au flanc vert
Chevaux de bois
L'ingénue
Un Jurançon 93
De tout ce gala de province
Quel pas sur le pavé boueux
Embrassez-moi petite fille
L'immortelle, et l'oeillet de mer
Bayonne
A l'Alcazar neuf
Ainsi, ce chemin de nuages
Vous qui retournez du Cathai
Molle rive dont le dessin
Douce plage
Nous jetâmes l'ancre
Saïgon
J'ai beau trouver
J'ai vu le Diable
On descendrait, si vous l'osiez
Enfin puisque c'est Sa demeure
Tout ainsi que ces pommes
A Londres, je connus Bella
Au détour de la rue étroite
Dans la rue-des-deux-Décadis
Trois châtes de Provence
Dessous la courtine mouillée
Pour une dame imaginaire
Pâle matin de Février
Me rendras-tu
Toute allégresse a son défaut
Toi, pour qui les dieux du mystère
Epitaphe I.M.N
Sur l'océan couleur de fer
Ô jour qui meurs
In memoriam J.G.M
Quand l'âge
La vie est plus vaine
En Arles
Les trois dames d'Albi
Plus oultre
Le temps d'Adonis
Le tremble est blanc
Longtemps si j'ai demeuré seul
Quelquefois, après des ébats
Aimez-vous le passé ?