En l’astre qui se lève
Est le chant de l’Aurore,
En l’ombre qui s’enfuit
La déroute des ans…
L’abîme est refoulé
Au néant par la grâce
De cette jeune fée
Aux yeux d’ambre-velours…
Et l’azur et la pourpre
Se fondent en sa robe,
Dont seul encor l’ourlet
Suit la ligne du Temps.