Il s’en alla disant : « Pourquoi suis-je venu
m’offrir un trek sur le Plateau de Gergovie ?
Las. S'épancha, de mon genou la synovie.
Il y faisait très chaud. J’allais, le torse nu,
les pectoraux vibrant au grand vent de l’Histoire,
des Gaulois célébrer la splendide victoire. »
Ainsi parla Zérard, versificateur-né .
Il avait l’âme forte. Hélas le genou tendre.
Le vercingétorixophile en fut sonné.
Un soupçon narcissique, il choisit de s’épandre.
Assurancetourix s’était réincarné
en ce poètereau mâtiné de Clitandre.
Si rares étaient ceux qui voulaient bien l’entendre,
il avait à présent un genou couronné.
Le premier vers est le dernier du poème "Épitaphe" de Gérard de Nerval
Les suivants sont des bouts rimés de ce sonnet inversé.