Eloquente correspondance...
par Tonindulot
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par Oxalys
Ô vous qui m’écrivez de plume si légère
Dites-moi plus souvent Ô rhénane bergère
Que mon Pays vous plût quand vous vîntes un jour
Passer en ma maison un tout petit séjour.
Nous sommes bons amis et sans qu’il y paraisse
Cet amical rapport est farci de tendresse.
Les gens qui viennent lire un si riche courrier
Se demandent encor si cela peut varier.
Je ne puis me résoudre à l’instar de vous-même
A cesser cet échange en statut de poème.
Faut-il d’un tel penchant chercher à nous guérir
Surtout lorsque jamais il ne nous fit souffrir.
Sans vous je participe avec sobre tendance
A un jeu collectif prônant la dépendance.
La tâche est difficile et demande sang-froid
Pour garder le bons sens qui permet d’être adroit.
Soyez bonne avec moi sans penser à vengeance
Ni porter du mépris à toute cette engeance.
Le projet en question produit pour jeune enfant
Du rêve en peu de mots par des textes bluffant.
Sachez, sans plus douter, que je vous remercie
De ne point signaler que j’ai mine endurcie,
Que mes ans cumulés sont autant de piliers
Qui décorent ma peau de nombreux escaliers.
Dites donc aux acteurs qu’en l’absence de Muse
Je ne trouve aucun jeu qui sans rente m’amuse.
Vous savez tout cela, mais gardez le secret
Sans besoin de rappel du subtile décret.
Poème posté le 21/01/24
par Tonindulot
Informations mp3 : Musique de Felix Mendelssohn - Schöner herbst - Bel Automne
Poète
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Aimer toute saison pour ce qu'elle est
Amours enfantines, marques éternelles
Ferraillez, mon Ami, sans plus vous courber
Que n'ai-je donc su plus tôt....
Délire ou psy chose en léonins
En ma rase campagne...
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Que soit la joie....
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Sur le trottoir...
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Le rat de marais...
Avoir un compte en cieux...
Prenez mon sac cadeau...
Clerc de lune...
Je m'apprête pour l'automne...
Le sot fat sans fauteuil....
Les moissons sont finies...
Que jeunesse se passe....
Succombez donc aux éclats d'eau bue..
A toi poète de toujours....
A celui qui doute...
Gardons, mon ami, la force de gloser....
Pour mieux viellir ensemble...
Satyre à boulets rouges..
Ô Princesse en errance...
Parlons peu, parlons bien...
Difficile d'être en tête de l'art...
Le sens et l'assommoir...(2 rondeaux)
Je me suis trompêté de fable
Gardons surtout l'espoir...(rondeau)
L'écot du vigneron...
L'affable en galant bourg....
Le ciel au style d'hiver...(rondeau)
Un mec affable doit rester mec à fable
Je suis bien un berger
Fait d'hiver
Le Médoc peut soigner...
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Au final, la coupe des vices....
Buvez ces quelques vers....
Dur de suivre le confinement
Ô toi ma douce Mie...
L'onirique vie sans appât...
Cousine ! prenez-moi...
La décadence en décas denses...
Ce temps me porte au nu...
Devenez professeur de l'être...
Ne pleure plus, ami fidèle...
Pourquoi donc faire jeun..??
Ô soleil mi-haut....
J'ai rangé mon violon...sans sonner
Les mots d'Est, dès le levant...
N'écrivez plus cela....
On ne nous tolère plus rien...
Pourquoi pas aujourd'hui ?.....
Être un Homme de lettre.....
Oeil pour oeil, vers pour vers....
Allez-vous faire voir ?
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