Paul Gauguin
Heureux qui comme Gauguin, fit de beaux tableaux
En marginal, tu as fui vers la Polynésie
Vécu parmi les habitants de Tahiti
Et peint le charme des nymphes, aux corps si beaux.
Tu voulais vivre, d'extase, de calme et d'art
T'échapper de la folie, d'être libre enfin
Vers les îles Marquises et sentir leurs parfums
Tu as fait des toiles à la gloire des beaux-arts.
Portraits de couples de femmes, quelquefois nues
Sur leurs visages, on ressent la mélancolie
La douceur du temps qui passe, du paradis
Perdu, belles tahitiennes, aux seins charnus.