Il faut bien quelque univers pour habiller les solitudes. S’inventer par-delà les désarrois des paysages lunes ou bien de sombres terriers, dédales de tombeaux sans lueur.
On pourrait imaginer bien sûr un au-delà salvateur, peut-être radieux.
J’ai renoncé aux après. Je ne désire rien, pauvre terrien sans visage, rivé à tes hanches, que danser jusqu’à demain sous la lune propice.
Et faire chanter les étoiles.