Silence Olivkove
par Chorniyburshtynova
Pourquoy, douce ame, es-tu esgarée,
En ce monde de douleurs sans cesse ?
Je cherchay maintes raisions voilées,
En la nuit sombre, en l’aube noblesse.
Ciel azuré, nous te retrouvons,
Quand le jour et la vie se fondront.
Délivrés de nos chants moribonds,
Nous reposerons en l’horizon.
Ton souvenir, tel un songe égaré,
Oppresse mon cœur de mélancolie.
En ce jour, je fay serment sacré,
De te garder en mon âme embellie.
Les jours s’écoulent, le temps s’éclipse,
Mon ame se débat contre destin.
En ton absence, je trouve reliques,
Pour espérer l’aube du matin.
Ton savoir fut ma chandelle vive,
Lorsque la nuit emportoit tes mots.
Je ressens ton esprit qui ravive,
En ce monde, je vis pour nous, hagard.
Qu’il advienne, le repos tant doux,
En ce monde ou en royaume céleste.
Je porteray ton écho jaloux,
Dans mon cœur jusqu’à l’ultime feste.
Ô, vents portez mes chants dolents,
Aux cieux cléments où l’âme repose.
Que l’éternité soit bienveillante,
Pour celui qui m'a sçeu et instruit.
Poème posté le 25/06/24
par Chorniyburshtynova