Vengeance solitaire
par Armando72
Œil océan par son désolant courant
On ne plus, barque seule par la rive du temps
Moi ne pus, brune brassant l’heure naviguant
Marre, et de leurs clapotis clapant noyade ou pardon .
L’étourneau sansonnet seul’étourdi sentit
le vent tournoyer, sons nuls et sang le suis
Encore, sous les sapins pointus d’une arborescence
Est charbon, et de son troupeau loin, ciel y pense .
Chevalier de son épée vêtu et d’une
Fiérté royale portant digne tel dune
Sur son dos, et lourd son fer, guerroie y croit:
Je, d’un coup fatal le caressa, Lui,
Je, d’un trou béant le toucha, Lui,
Tout cela, dans le reflet du miroir vis, Moi.
Poème posté le 01/11/24
par Armando72