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Vécu...
par Varech


L'ascenseur s'arrête Quinze étages encore La femme toute fluette se fond dans le décor Lentement, anxiogène le parfum se répand L'espace est confiné et bientôt, dépendants du flux lacrymogène nous sentons, condamnés Les larmes se font jour ponctuées d'éternuements La femme demeure coite La cabine trop étroite Même ponctué d'humour ce qu'il est long, le temps Pas d'arrêt salvateur de possible échappée à cette triste équipée dont je suis narrateur Enfin, au rez-de-chaussée prend fin cette odyssée et la dame nous devance dans une dernière fragrance...

Bon, il y a aussi d'autres effluves...

Poème posté le 16/11/23 par Varech


 Poète
Varech



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