Trois mots en trois temps pour le mot du mois et l’émoi des mots d’un promeneur solitaire ne chassant que des chimères.
Cor, comme le son du cor au fonds des bois. Et l’estrade à la communale. Le mercredi, c’était ciné à la garderie, « Tintin et les oranges bleues », et « Ni vu, ni connu » nous faisaient rêver et rire aux éclats. C’était le temps du temps lent, inépuisable.
Nostalgie. Celle du temps mystérieux, héroïque de l'avant. Et les fusils couverts de poussière dans la cave, avec la gibecière en cuir.
Etranger. A la confrérie des chasseurs d’aujourd’hui, ceux des battues, des campagnes fières. Ceux du temps suspendu.