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Chaud effroi
par Jim


Il en avait assez de toujours pomper l'air et, pour changer de phase, intima : Eau ! séan ce tenante, un grand nom t'est donné, Océan ! Dieu effrayant à la mine patibulaire ! Tes bras enserreront l'immensité du sol ! Voici ton but, ce à quoi ton si vaste corps sert ; tendre cette nappe où périront les cor saires, animés tous d'un désir souvent fol. Sur ta peau un canal brûle ainsi qu'une rue meurt. C'est l'autre, un affreux, effrayé qu'on le vole quand j'installe un voisin tout au pied de son vol can. Tout ça parce que court une bête ru meur: craignons cet étranger qui peut tout changer ! Faire bouillir de l'eau peut être un grand danger.

©JIM

Poème posté le 16/07/24 par Jim


 Poète
Jim



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