Sonnet épiphané
par Assonance
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Ici haut — partout — par l'adverbe épiphané,
Se tient en rectitude élévation d'être,
Le bien en vrai primus, verbération verte,
S'y dit docte atout, l'art jamais n'est-il fané ?
Lyrisme au soi doux, sa caresse écrit l'avé,
Se vient en exquis pur — d'aimée passion naître
Le saint plan d'esprit sûr, révélation, quête,
Vigie donne à proue, partager est-il sacré ?
Quelque bon goût floral ensoleille une stance
Et de mon houx, l'hommage en sonnet hume sens,
En délice invisible et pourtant si réel
La sonorité fait écho aux mélodies,
D'un cosmos inné sait héros l'homme et son si,
S'en élit l'indicible écoutant rythme et ciel.
épiphané: Du grec ancien ἐπιφανής , epiphanês (« apparu, lumineux, illustre »)
primus: le premier
verbération: Nom commun. (Désuet) (Physique) Vibration de l'air qui produit le son.
Poème posté le 21/12/24
par Assonance