Hypnos
par Alaettine
Les ciseaux des paupières
Divisent à l’infini
Les songes de la nuit.
Prunelles au cœur de jais
Où sommeillent les ombres,
Scellez jusqu’à l’oubli
L’intangible secret.
Les rives cernées d’or
Ondoient tel un miroir
Dans cet instant figé
Par l’ombre de Morphée.
Poème posté le 09/10/08