Un vent battu par un souffle plus fort
L’orage battu par un grondement plus grave
Le feu battu par une course plus violente
La pluie battue par des larmes de sang.
Une bombe de haine s’abat sur le sentier
Une ville toute entière s’effondre sous nos yeux
D’un journalisme en quête d’audience réalité
Comme un show ! A des kilomètres d’eux.
Et continuent les bombes à ravager les corps
D’être sans défense, aux crimes bien douteux
Et l’humain s’y enterre de violence adorée
Continue mon ami, je te tue sans répit.
Et dans un dernier cri d’espoir. L’enfant
Pleure, encore et encore, de souffrances et de verre.
Son cœur tente encore de lui laisser la vie
Mais son âme à jamais y restera enfouie.