Ma douce adorée
par Bragi
Que ne t'ai-je pas plus tôt rencontrée,
Toi qui m'as donné le plus grand bonheur,
Toi qui m'as offert le plus grand honneur
Qu'une vertueuse femme puisse montrer.
Tu m'as délivré de ma vie prostrée,
Uniquement ponctuée par mes pleurs.
Que ne t'ai-je pas plus tôt rencontrée.
Oserais-je rêver vie plus dorée :
Tu as guéri ma plus grande douleur
De fait, s'est envolé tout mon malheur.
J'encense ton amour, ma douce adorée,
Que ne t'ai-je pas plus tôt rencontrée.
Poème posté le 12/09/11