Du matin a ma premiere naissance
par Postman
il s'y invente des matins comme ailleurs
au train des jours ou des soirs sans pâleurs
l'invisible femme a devenir notre vivant
ce sera l'eau de source qui ne coule en goute de pleurs
flotte notre vie a son destin
ou nagent quelques peurs
au trait de quelques visions a dévêtir nos chimères
il s'y invente des soirs comme ailleurs
dansent les étoiles qui nous effleure
une visible femme probable a notre vivant
ne laisse des utopies à prier
qui s'accrochent à la terre
son corps fait trace hors du temps
à l'indocile ferveur
puis nous sauve vers les parois de l'ampleur<br>
Je dédie ce poème à ma femme Valérie.<br> Je t'aime
Poème posté le 16/07/09