Vestiges
par Postman
Dépôts des lieux à l'écart
respirent l'oxyde
durcissent d'autre part
une lumière grise
si mains hautes aux remparts
s'effrite des ornières vides
que l'épaisseur des murs hagards
sautillent le néant sans crise
en proie à l'inutilité
vers l'espace qui frise
Poème posté le 31/07/09