Les sentiers du faubourg
par Postman
A couvert du tumulte d une grande ville
Une femme la mienne très paisible
Parmi les êtres les plus tranquilles
Au sourire pure le plus indescriptible
Dans les lieux d un champs elle se faufile
Tel un papillon à l écart immobile
Creuse un étang a la profondeur des pupilles
Celles des femmes libres ou tout plonge
Un paysage a l approche qui défile
Semble t il des vents à l ombre de l indocile ?
Prennent les peupliers a souffleter une danse habile
Aux branches rentrées des fossiles
S irisent des yeux verts ou nagent les cils
Vers un horizon champêtre
A libérer un cœur au nombre de mille
Et qui désignent encore
Des sentiers aux traces de mes filles
Poème posté le 14/08/09